Le phénomène a notamment été repéré aux Etats-Unis et en Australie.
L’application Grindr y voit se développer un marché souterrain de la drogue via les smartphones de ses utilisateurs.
Par le truchement de profils illustrés de symboles évoquant leur business, des dealers de méthamphétamines ou de cannabis proposent leurs services aux dragueurs en ligne.
La police australienne recommande aux utilisateurs de Grindr de porter plainte en cas de proposition de stupéfiants.
Aux Etats-Unis, des élus californien ont alerté les dirigeants de Grindr, dont le siège est installé à Los Angeles.
Grindr a réagi en annonçant que l'appli allait bloquer l’utilisation de certaines émoticônes suspectées de cacher des profils de revendeurs de drogues, tels que le symbole "nuage" utilisé par les dealers de meth.
Des codes ou phrases-clés destinés aux consommateurs du chems seront aussi bloqués.