Les studioas Lucas Entertainment et Corbin Fisher, victimes fatiguées du téléchargement illégal, ont décidé de réagir pour mettre un frein à cette pratique qui porte préjudice à l'industrie du X.

Jusqu'ici, rien à dire à ce que ces entrepreneurs défendent leurs droits et la pérénité économique de leur entreprise. Mais les méthodes choisies pour le faire posent question.

En effet, le groupe Liberty Media, qui contrôle Corbin Fisher, prétend détenir des milliers de noms de pirates fournis par une entreprise spécialisée et a décidé, fin janvier, de proposer une "amnistie" à ceux qui avoueraient leurs méfaits contre un abonnement d'un an à deux de ses sites pour la somme de 1.000 dollars pour solde de tout compte.

Une seconde amnistie a été propsée un peu plus tard contre 1.900 dollars, cette fois.

Faute de cet accord "à l'amiable", Liberty Media menace de réclamer aux contrevenants 150.000 dollars de dommages et intérêts par fichier téléchargé et la publication des noms des pirates dans les décisions de justice.

Cette opération de chantage relève-t-elle du bluff ? Nul ne sait. Mais ses dangers ont été pointés par le site Queerty.com, qui redoute que cette méthode ne débouche sur des outings familiaux dans le cas de mineurs qui auraient téléchargé illégalement des images X gay, avec les drames qui peuvent suivre.